Julien D. Shad, le cyclone mental...

"Korotatsu. C'est le nom de cet art martial si spécial qui est le mien. Cet art qui ne consiste pas qu'à frapper, mais qui se base sur les émotions. Provoquer, pecuter, réconcilier, aimer... Tout ça, je le créais par ma volonté... Ce qui m'a poussé à aprendre ça? Pas grand chose je l'admets, un vieux livre de la bibliothèque de mes parents... Des détails? Pourtant mon histoire n'a rien d'extraordinaire... Vous insistez? Et bien asseyez vous, je vais vous conter mon histoire..."

Je suis né sacrieur, fils unique d'une riche famille de marchands. J'étais sensé avoir tout pour me combler. J'avais des domestiques, des jouets, des 'amis' (payés par mes parents)... Mais quelque chose me manquait. Ce que l'on appellait "une vie". Alors je suis sorti. Le jour de mes 12 ans, je suis sorti pour la première fois. Que c'était beau. Ce monde si merveilleux qui m'entourait, je ne pouvais croire que c'était pour de vrai.

Mais on me ratrappa à peine mes premiers pas effectués. Depuis, je m'enfermais encore plus. Je passais mes journées à lire, ne fesant qu'augmenter ma peine en lisant les merveilleuses choses habitant hors de cette prison de verre... Puis je suis tombé sur ce livre un vieux livre familial relatant d'un art secret. Le korotatsu. C'était son nom. Je m'y entrainais seul, enfermé dans un gymnase. Mais comme pour tout, on me découvrit, et ce qui me plaisait, on me le prit. J'avais 15 ans à l'époque. Après cet instant, ce fut le black-out. Je ne me souvint pas ce qui se passa ensuite. Sans doute ma haine me poussa dans une rage inconsciente. Quand je me suis réveillé, mes bras était couverts de sang. Mais pas du mien. De celui de mes parents.

La demeure familiale était en flamme. Je ne savais où aller. Alors je m'enfuis. J'erra seul dans les terres d'amakna, grelotant dans l'hiver de cette vie sans nuit. C'est un jour que de vieux énutrofs, pas très frais mais chaleureux, me trouvèrent en rentrant de la taverne. Après conciliabule, claques et coups de pelles, on décida de me prendre. Je vécu avec eux, dans leur mine, les aidant à creuser des galleries toujours plus profondes, les protégeant d'étranges bêtes au nez pointu qui sortaient parfois de terre. Ce n'était pas la belle vie. J'étais tout le temps salle. J'étais toujours épuisé. Mais ça me plaisait. J'avais enfin une vraie vie. Je ressentais ce qu'était qu'être aimé. Je vécu quatres années en leur compagnie.

Et peu après mon dix-neuvième anniversaire, je décida de les laisser. Je reviens néanmoins les aider à la mine quand je le peux. Mais j'avais besoin de voir autre chose. Je reçois souvent de leur courier. Cela me provoque à chaque fois chaud au coeur. A la découverte du monde, je dormais sous les arbres, vivais d'eau fraîche et de viande de bouftou rôtie au feu de bois, quand un jour je fus réveillé par une étrange vision.

Une caravane. Plusieurs roulottes, se suivant dans un vacarme de petit déjeuner semblable à un champ de battaille, passaient devant moi, projetant parfois des poêle à frire par la fenêtre. Un peu faché d'avoir été réveiller ainsi, je montais dans la caravane de tête, là où se concentrait tout le brouaha. Ce fut une scène mémorable, qu'on aurait pû et dû graver sur de la rôche. Dès mon entrer, le silence était angoissant. Tous s'étaient figés en me voyant entrer, et quelques xélors étaient même stopés dans les airs, projetés par des iops mourrant de faim aux airs de bwork. Puis ce fut la débandade silencieuse, chacun fit comme si rien ne s'était passé, retournant à sa place comme si de rien n'était.

Légèrement interloqué, je demanda ce qui se passait, et on me répondit "le rituel habituel du repas du matin". Quelques rires étouffés naquirent dans l'attablée, puis quelques secondes après ce fut toute la salle -moi compris- qui était aux éclats. J'apris qu'ils formaient une caravane, répandant bonne humeur et joie de vivre là où ils passaient. Vu le premier contact, j'ai vite compris pourquoi. Je reste avec eux depuis ce temps, découvrant peu à peu les mystères du monde, tout en retournant souvent aider mes vieux comparses d'un petit coup de pioche...

"Mais... Je ne vois pas en quoi cela vous est utile... Mr. Daclusia..."

C'est vraiment très beau tout ça, malgré quelques fautes d'orthographe et le côté sanglant (comme à chaque fois ^^), mais il y a un truc qui m'étonne, tu dis avoir "tué" tes parents l'année de tes 15 ans, puis tu dis fêter après tes 10 ans chez les Enutrofs. Ça m'embrouille !

Ha ouai xD Erreur de rédaction, j'voulais écrire dix-neuvième année. J'vais corriger ça >0<

NB: korotatsu, le nom de mon art martial, est le diminutif du japonais "kokoro no tatsumaki", qui signifie la tempête mentale, le cyclone de l'esprit, l'ouragan de l'esprit, enfin bref tout plein de sinonymes x)

(houlà oui, ouragan avec un t @_@ C'est ça à chercher des gants sur google)

(Tout plein de fautes aussi. xD)

synonimes
Même je sais ça, tssss pabien Daclu ^^